4e de couverture : "A Globalia, l'Histoire est terminée et avec elle tout ce qui faisait l'humanité : le désir, la différence des sexes, le conflit, le vieillissement. Surveillance rime avec liberté. Baïkal, vingt ans, ne croit plus à cette propagande : avec Kate, il décide de s'évader et de pénétrer en non-zone. Mais ils sont arrêtés et Baïkal se voit proposer un étrange marché : être renvoyé en non-zone, y susciter le terrorisme et par là les formes de tragédie nécessaires au totalitarisme de Globalia. "
Apprécié mais pas adoré !
Une belle écriture, j'ai adoré rencontrer au fil de ma lecture certains mots peu utilisés et pourtant très évocateurs.
Le fond du livre : la critique de la démocratie poussée à l'extrême, la mondialisation à outrance est intéressant et veut nous mettre en garde contre l'uniformisation à tout prix (surtout au prix de la liberté individuelle). Pourtant, il manque à ce livre un "je-ne-sais-quoi" qui m'a laissée sur ma faim.
En fait, l'auteur nous décrit ce monde imaginaire et à la fin du livre rien n'a vraiment avancé...Néanmoins, un livre à lire.
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